Madame Lina Lachapelle, ingénieure chimiste, cumule plus de 25 ans d’expérience dans les domaines des études et de la gestion environnementale de projets industriels pour SNC-Lavalin. Elle a positivement contribué au développement de grands projets industriels, comme directeur de projet d’études d’impact environnemental, principalement au Québec, en supportant des clients industriels dans leurs discussions avec les autorités règlementaires ainsi qu’avec les communautés d’accueil des projets et en partageant ses connaissances sur les règlements et processus règlementaires au Québec. Dans l’exécution de ces mandats, elle a été appelée à gérer le travail d’équipes techniques et était responsable de la qualité de l’ensemble des livrables.
Lina Lachapelle en est à deuxième mandat au sein du Conseil d'administration de l'AQÉI.
Titulaire d'une maîtrise en environnement de l'université de Sherbrooke, Alexandra s'intéresse au volet social et aux mécanismes de participation publique dans la procédure québécoise d'évaluation et d'examen des impacts.
Son travail de consultante chez Transfert Environnement et Société l'a amenée à collaborer à la réalisation de mandats touchant au développement et à la mise en œuvre de démarches participatives ainsi qu’à la communication sociale et environnementale pour des clients de différents horizons, et ce, majoritairement dans le cadre de l'évaluation des impacts de projets. À travers ces mandats, elle a pu côtoyer diverses équipes multidisciplinaires de réalisation d'études d'impact auprès desquelles elle a retiré de précieux apprentissages qui la poussent à toujours vouloir améliorer la pratique.
Alexandra est membre de l'AQÉI depuis plusieurs années et a assisté à plusieurs éditions du congrès annuel. Les enjeux qui touchent le domaine de l'évaluation des impacts, dont plusieurs ont d'ailleurs été discutés au fil des ans au sein de l'association, l'interpellent toujours. Au sein de l'Association, Alexandra apportera son expertise, entre autres, dans le volet social de l'évaluation environnementale.
Marie-Hélène est bachelière en biologie - écologie (UQAM, 2004). Consultante dans le domaine de la vulgarisation scientifique et de l’environnement, elle participe, entre 2010 et 2013, à la réalisation du Programme d’évaluations environnementales stratégiques sur la mise en valeur des hydrocarbures en milieux marins, pour le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN). À la suite de ce mandat, elle réalise, et participe à la réalisation, d’études d’impacts sur l’environnement et d’études sectorielles au sein de firmes de consultants. En 2016, elle assure la coordination, puis la direction générale de l’AQÉI jusqu’en décembre 2018, où elle joint le MERN en tant que conseillère en acceptabilité sociale. Ce mandat l’amène, entre autres, à s’impliquer dans les réflexions en lien avec les impacts sociaux des projets et les processus de participation publique.
Yves Rochon détient un baccalauréat en biologie de l’Université de Montréal et une maîtrise en sciences de l’eau à l’Institut nationale de la recherche scientifique. Il travaille au Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC) depuis 1988. Il a été impliqué dans l’évaluation environnementale de nombreux projets à titre d’analyste, de chargé de projet et de coordonnateur au sein de la direction de l’évaluation environnementale. En 2012, il a été nommé directeur de l’évaluation environnementale des projets hydriques et industriels. Il a ensuite occupé la fonction de directeur de l’expertise hydrique de 2013 à 2015 au Centre d’expertise hydrique du Québec (CEHQ). Il est revenu dans le domaine de l’évaluation environnementale en 2015 en acceptant la charge de directeur général par intérim de l’évaluation environnementale et stratégique.
Analyste au Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE) depuis septembre 2019. Il est également chargé de cours en Responsabilité sociale de l’entreprise à HEC Montréal. Titulaire d’un DESS en Gestion (HEC Montréal), d’une maîtrise en commerce international et développement (IEP Paris) et d’un DEA en économie de l’environnement (la Sorbonne), il a travaillé sur de nombreux mandats en développement durable pour différentes organisations. Il termine un doctorat en Sciences de l’environnement à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) s'intéressant dans le cadre de sa thèse au rôle de l'État au regard de l'acceptabilité sociale des grands projets. Il s’intéresse plus particulièrement aux dynamiques de mobilisation citoyenne, aux impacts sociaux ainsi qu’à l’analyse avantages-coûts des grands projets.
Pierre Batellier entame son premier mandat au sein du conseil d'administration
Marc-Antoine est associé pour le cabinet de conseil AUDITERRA basé à Montréal depuis près de trois ans. Il dirige les équipes multidisciplinaires dans des mandats d’évaluation environnementale et d’audit du développement durable.
Il compte près de 20 ans d’expérience en tant que praticien ou gestionnaire en évaluation environnementale, en réalisation de schémas d’aménagement du territoire, en caractérisation biophysique, géomorphologique et humaine du territoire et en audit du développement durable.
Il a travaillé tant pour des firmes de consultants de grande envergure que pour les gouvernements (fédéral, provincial et municipal), dont cinq ans pour le Bureau du vérificateur général du Canada (équipe du commissaire fédéral à l’environnement et au développement durable).
Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en géographie, Marc-Antoine a axé son parcours universitaire sur l’aménagement du territoire, la géomorphologie et l’évaluation environnementale stratégique.
Ingénieure agronome de l’Université Quisqueya en Haïti (2000) et titulaire d’une maitrise en Agroforesterie à l’Université Laval à Québec, Canada (2007), Edna Blanc CIVIL a cumulé plus d’une quinzaine d’années d’expérience dans les domaines liés à l’environnement et des ressources naturelles, la gestion de projet, l’agroforesterie, l’évaluation environnementale, la biodiversité, les changements climatiques.
De 2000 à 2007 elle a travaillé comme agronome conseillère dans ces domaines pour le compte d’ONGs (SUCO et Oxfam, Qc). De 2008 à 2015 elle a occupé les postes d’Experte technique en environnement et Coordonnatrice nationale de projets en environnement et renforcement des capacités, gouvernance environnementale pour le PNUD-Haïti. De 2008 à 2011, elle a été chargée de cours à l’Université Quisqueya. De septembre 2015 à décembre 2016, elle a été consultante internationale et experte en renforcement des capacités et évaluation environnementale à l’Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD/OIF). Elle a contribué à l’élaboration de documents techniques, stratégique et de politique en évaluation environnementale, changement climatique, gouvernance environnementale, agroforesterie, biodiversité, réserve de biosphère. Elle était professionnelle de recherche à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et est membre du Groupe d’Étude et d’intervention en Géographie et Environnement Régionale (GEIGER/UQAM) (2015-2016). Elle a bénéficié de plusieurs formations en évaluation environnementale et évaluation environnementale stratégique avec le SIFEE et l’UQAM.
Elle est actuellement travailleuse autonome en agroenvironnement, particulièrement dans les domaines de changements climatiques, évaluation environnementale gouvernance et institutions. Elle fait actuellement une formation d’appoint en vérification environnementale (Université de Sherbrooke).autres consultants.
Valérie Groison est actuellement conseillère en environnement au sein de l’unité environnement d’Hydro-Québec Innovation, Équipement et Services partagés. Elle a complété une maîtrise en gestion de la faune et de ses habitats à l’UQAR en 2001 et un baccalauréat en biologie, option écologie à l’UQAM 1996.
Travaillant à Hydro-Québec depuis 2002, elle agit comme conseillère en environnement, spécialisée en végétation et faune terrestre au sein de l’unité chargée de réaliser les évaluations environnementales des projets d’Hydro-Québec. Elle a agi en tant que spécialiste dans les projets de construction de nouvelles centrales tant sur la Côte-Nord (Complexe Romaine), qu’à la Baie-James (Centrales Eastmain-1-A et de la Sarcelle et dérivation Rupert), qu’au Saguenay (centrale de Péribonka) et en Mauricie (Centrales de la Chute-Allard et de Rapides-des-Cœurs). Elle a également agit à titre de chargée de projet pour le projet de centrales de Chute-Allard et Rapides-des-Cœurs, et en tant qu’administratrice de contrat en environnement à la SEBJ pour la réalisation des suivi environnementaux et des mesures d’atténuations pour les volets des milieux naturels et humain.
Biologiste et aménagiste de formation, M. Mario Heppell a réalisé et collaboré depuis 30 ans à plus de 600 dossiers environnementaux, dont quelques 250 demandes d’autorisation dans le cadre des processus fédéraux et provinciaux, comprenant près de 50 évaluations environnementales de projets d’importance (ports, dragages, sédiments contaminés, stabilisation de plages et de berges, routes, ponts, etc.). En plus d’avoir déjà été membre du c.a. de l’AQEI de 2006 à 2010 en tant que représentant de l’ABQ, il fait régulièrement partie des comités d’organisation des congrès de ces deux associations et il produit des mémoires sur des sujets d’actualité pour chacune de celles-ci. Un des derniers en lice l’a été pour la réforme du régime d’autorisation de la LQE. Il est un des membres du nouveau Comité consultatif de l’AQEI sur la reconnaissance professionnelle (CCRP).
Christine Martineau a agi comme professionnelle de recherche et chargée de projets en environnement depuis 2002. Elle est présentement directrice de projets chez WSP Canada depuis 2017, principalement dans le cadre d’évaluation environnementale, et agit en tant que biologiste pour des projets variés, principalement au Québec. Au cours des treize dernières années, elle a travaillé sur plusieurs types de projets dans les domaines de l’environnement comprenant des études d’impacts, des évaluations environnementales, des inventaires et caractérisations du milieu récepteur, des demandes de certificats d’autorisation et des suivis environnementaux, notamment dans le cadre de projets miniers, énergétiques et d’infrastructures.
Ses compétences principales en direction et gestion de projet incluent le suivi des budgets et des échéanciers ainsi que la coordination d’équipes de travail multidisciplinaires. Elle possède également une expérience technique significative, notamment pour des inventaires de l’avifaune et des milieux aquatiques, la surveillance environnementale en période de travaux (suivi de la qualité de l’eau) et des suivis post construction (état des populations fauniques ou de l’habitat du poisson).
Erica est titulaire d’une maîtrise en analyse environnementale de l’Université de Concordia. Elle travaille depuis Décembre 2019 au département de l’environnement et des travaux remédiateurs du Gouvernement de la Nation Crie, où elle occupe le rôle d’analyste environnementale au sein de l’unité des évaluations environnementales.
Dans le cadre de ce rôle, elle travaille sur des dossiers d'analyse des impacts environnementaux et sociaux de projets de développement de diverses natures (minier, éolien, lieux d’enfouissement, etc.) en Eeyou Istchee, dans le cadre de la procédure d’évaluation environnementale et sociale du chapitre 22 de la Convention de la Baie James et du Nord Québécois. Elle participe à des analyses conjointes avec le gouvernement fédéral et le gouvernement provincial, et en étroite collaboration avec les membres des communautés cries. Elle a aussi une expertise en politique de la faune, acquise à travers son ancien rôle d’analyste des politiques avec le Service Canadien de la faune. Elle s’intéresse surtout à la participation publique et la communication scientifique, ainsi que la gestion et la politique de la faune.